2 mai 2019
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Si à la création du G5 Sahel en 2014, la coopération entre le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad a été saluée pour l'engagement direct qu'elle implique des Etats les plus menacés par la présence d'organisations djihadistes, sa mise en place est laborieuse.
Cinq ans plus tard, le G5 Sahel, et en particulier sa force militaire, peinent à s'imposer. Notamment au Mali.
Thomas Schiller, directeur du programme régional basé à Bamako de la fondation allemande Konrad-Adenauer, reste persuadé que cette coopération transfrontalière constitue la seule solution viable.
Ecoutez son interview en cliquant sur l’image.