La démocratie en Tunisie est encore chancelante
17 décembre 2015Publicité
En Tunisie, il y a tout juste cinq ans, le 17 décembre 2010, un vendeur ambulant de 26 ans, Mohamed Bouazizi, excédé par la précarité et les brimades policières, s'immolait par le feu à Sidi Bouzid, une localité du centre du pays dite défavorisée. C'était le début de ce que certains ont appelé le "printemps arabe".
Cinq ans plus tard, où en est-on ? Sarah Mersch et Kossivi Tiassou.